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Pierre Drieu la Rochelle – Prestige de la Femme

Brigitte est-elle la régente du royaume ?

Étonnamment, quand on lit ce qu’écrit Drieu la Rochelle (DLR) dans son Journal 1939-1945 sur le rapport à la femme des régimes fascistes et communiste, on peut largement, 80 ans plus tard, y inclure le régime néolibéral, qui est un mélange de fascisme et de communisme, mais sans la coercition physique.

 

 

On le voit par exemple dans la dérive tyrannique de l’Union européenne, une dérive qui était évidemment en germe dès les années 50, quand l’Amérique organisa l’Europe à son image et selon ses intérêts.

La femme européenne est aujourd’hui plus libre que la femme soviétique ou la femme allemande des années 30, mais si elle a gagné sur le plan sociétal, elle a perdu sur le plan maternel et purement amoureux. De quelle liberté parle-t-on, quand elle est imposée par un modèle social surpuissant qui veut la déconstruction de la Mère et de la Vierge ?

On n’a rien sans rien, et le capitalisme ne fait pas de cadeaux : s’il donne un ici, c’est pour reprendre deux là. Le modèle de femme dite réussie pour la majorité des jeunes filles aujourd’hui est une prostituée creuse (de droite) aliénée à la consommation – d’hommes et d’objets – ou une lesbienne haineuse (de gauche) nullipare.
Ce sont en tout cas deux directions encouragées par la socio-culture, le résultat d’une triple éducation de masse à travers école, médias et gouvernement.

Se libérer de l’homme revient à se libérer de l’amour. Et ça vaut pour les hommes aussi, qui eux n’ont jamais eu envie de se libérer de la femme... Mais échapper à une prétendue aliénation – l’amour est une aliénation consentie ! – pour retomber dans une autre (moins visible) n’est pas une libération : c’est un piège tendu par le Système.

 

 

DLR a raison sans le savoir, les reines et régentes d’autrefois avaient plus de pouvoir symbolique et politique que les Hidalgo, Pécresse et Bergé d’aujourd’hui.

Plus rien d’admirable ni de transcendant chez ces dernières ! Blanche de Castille, mère de Saint Louis, c’était autre chose que les bouffonnes actuelles fabriquées par le Système. Comment respecter des sottes positivement discriminées ? Sont-elles placées là à dessein pour promouvoir une déconstruction de la Femme et de l’intelligence ?

 

 

Si l’on voulait être taquins, on dirait que ce sont les homosexuels qui ont remplacé les femmes au Château.

 

 

À ce propos, Brigitte est-elle la régente actuelle, la reine-mère ?

La Rédaction d’E&R

 


 

Je lisais l’autre jour un article où l’on relatait avec étonnement qu’une jeune princesse devenait l’héritière du trône d’Angleterre et pouvait être appelée tôt ou tard à renouveler le long exploit de la reine Victoria. Mon étonnement, devant cet étonnement, m’a ramené sur une idée qui m’est venue déjà depuis longtemps : de beaucoup les femmes n’ont pas gagné autant qu’on pourrait le croire, en autorité et en influence, au triomphe maintenant séculaire de ce qu’on est convenu d’appeler les idées modernes.

 

Elles ont gagné beaucoup en apparence, mais elles ont aussi beaucoup perdu en fait. Elles ont acquis une certaine liberté dans la vie privée, dans leurs rapports avec leur mari, dans l’exercice du travail ou dans le maniement de leur fortune. Les hommes font semblant – que ce soit littérature ou conversation courante – de prendre en grande considération leur sensibilité et leurs opinions. Quand on y regarde de près, on voit que tout cela reste superficiel ou est grevé de dures contreparties. Si dans les rapports légaux, officiels, la femme me semble plus ménagée et respectée par l’homme, dans les rapports réels, sous prétexte qu’elle est plus libre, elle est traitée par lui avec beaucoup plus de sans-façon et de brutalité.

Cette situation de fait est particulièrement évidente en France où la femme est loin d’avoir obtenu les avantages qu’on lui a prodigués dans le monde anglo-saxon, qui par ailleurs a gardé à son égard beaucoup plus de la révérence passée. En France, nous n’avons pas consenti la liberté et l’égalité aux femmes, mais nous les traitons souvent avec une désinvolture qui ne serait excusable que si nous les avions largement pourvues.

Dans le monde, en général, il n’en va guère autrement. On ne remarque pas assez un fait qui est de grande conséquence. Les femmes participent à la démocratie là où elle existe – elles votent, elles peuvent être députés, ministres. Je prétends pourtant que la démocratie leur a retiré plus qu’elle ne leur a donné. Dans les régimes aristocratiques et monarchiques, depuis la fin du Moyen Age jusqu’à la Révolution française, des femmes ont véritablement gouverné. Comme héritière de petites ou grandes successions, elles ont, dans des cas fréquents, exercé une action énorme, décisive pour le prestige de leur sexe.

L’exemple des Élisabeth, des Catherine ne signifiait nullement l’accident du génie, l’exception qui confirme la règle : il signifiait profondément le triomphe d’un sexe qui régnait sur une société, qui lui donnait le ton, qui imposait sans cesse aux hommes le respect ou la crainte, des sentiments exaltés et jamais discutés. Au temps des princesses et des reines, jusque dans la bourgeoisie par imitation des mœurs de la Cour, et par le sentiment religieux jusque dans le peuple, l’homme pliait moralement devant la femme.

Je ne vois rien de semblable aujourd’hui. À cet égard comme à tant d’autres, les nouveaux régimes – mussolinien, hitlérien ou stalinien ne font qu’accentuer les tendances de l’époque.

Les régimes fascistes ont retiré franchement à la femme peu ou prou des prérogatives récemment acquises. Mais le régime communiste, qui a fait de grands efforts dans ses débuts et qui a obtenu de grands résultats – parents de ceux qu’on voit dans le monde anglo-saxon – pour l’égalité économique et sociale de la femme, n’a pu nullement la rétablir dans cet ensemble de privilèges secrets, sournois, cruels, mais efficaces où, jusqu’au dix-huitième et même jusqu’au dix-neuvième siècle, l’élite du sexe a assouvi si magnifiquement ses passions.

Les ouvrières russes luttent de pair avec leurs compagnons masculins. Mais quelle est leur influence réelle dans le gouvernement de leur pays et a tonalité de ses mœurs politiques ? Il me semble qu’à Moscou comme à Berlin, comme à Rome, ou dans les cités américaines régentées par les gangsters, domine une férocité guerrière qui indique le déchaînement de l’homme. C’est peut-être parce que l’homme n’est plus façonné, dans notre époque grossière, par la vénération sentimentale et la courtoisie de tous les instants devant la femme qu’il va retomber dans les violences. Avant les raffinements féminins de Florence et de Versailles, ces violences tenaient l’Europe chevaleresque dans l’état permanent d’un collège rempli de jeunes hommes ivres d’un célibat sanguinaire.

Les divas de la platitude

 






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21 Commentaires

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  • #3347513
    Le 10 avril à 15:54 par La charrue après les boeufs
    Pierre Drieu la Rochelle – Prestige de la Femme

    La déconstruction de la Mère et de la Vierge, c’est la déconstruction de la Vierge Marie, qui est à la fois mère et vierge, et donc la déconstruction du catholicisme qui donne la sainte Vierge en modèle à toutes les femmes.

     

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  • #3347524
    Le 10 avril à 16:37 par N B C
    Pierre Drieu la Rochelle – Prestige de la Femme

    La femme "moderne", étouffées par ses différentes charges : mariage, éducation des enfants, entretien du foyer familial, travail extérieur, est devenue une esclave dans nos sociétés modernes.
    Cet étrange "esclavage" est d’autant plus pervers qu’il est identifié comme une "libération" des femmes. Nous sommes en plein dans le roman "1984"

     

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    • #3348324
      Le 12 avril à 12:44 par guibus
      Pierre Drieu la Rochelle – Prestige de la Femme

      avec la femme moderne, vient aussi l’homme moderne, qui s’occupe aussi du ménage, de la vaisselle, de la cuisine, des enfants ... en plus du jardinage, du bricolage .. ; et de travailler à l’extérieur généralement 2 fois plus que son épouse.
      Donc faudrait arrêter avec ... la femme moderne ... qui continuerait d’être exploitée et tout et tout.

       
    • #3350770
      Le 17 avril à 12:42 par PL
      Pierre Drieu la Rochelle – Prestige de la Femme

      La femme moderne ne fait plus d’enfants, mais une carrière dans les entreprises.

      Elle passe 1/3 de son temps libre à se pomponner, 1/3 à faire du shopping et 1/3 à se montrer et à se plaindre.

      Elle n’a ni de cuisine, ni de ménage, elle vit dans des bureaux, dans des restaurants, dans des avions, dans des salles de fitness et de danse africaine, dans des voyages organisés, dans des taxis, dans des hôtels, elle fait la cour à ses clients et à ses directeurs pour vendre et se vendre, pour se faire augmenter.

      Éventuellement elle fera un mariage photogénique et un enfant unique à 40 ans, au bout de 3 ans elle engagera un grand divorce qui dure 6 ans et où tous les coups sont permis pour obtenir une rente. Ensuite elle devient aigrie de ne pas avoir eu la vie de princesse des magazines, elle devient envieuse et superstitieuse.

       
  • #3347527
    Le 10 avril à 16:52 par à bas le Temple !
    Pierre Drieu la Rochelle – Prestige de la Femme

    « Se libérer de l’homme revient à se libérer de l’amour. »

    Exact, mais de l’amour elles n’en ont qu’une vue idéalisée ou vague : c’est bien à l’homme (entreprenant) de l’initier et de porter cet amour à son plus haut degré - ce qui suppose un minimum d’engagement.

    Si Dieu est mort et que "Dieu est amour", alors l’amour est mort depuis longtemps.

    Qui a tué l’amour ?! Bah vous le savez bien ! Ne dit-on pas "le temps c’est de l’argent" ?
    Si Dieu est l’éternel et l’amour, alors notre temps de vie qui dépend de Sa volonté, doit être employé à aimer d’où le message (social) du Christ.

    C’est bien la tyrannie de l’argent qui a tué (le temps de) l’amour... et de l’aventure. Alors Dieu qui est amour, devenu ringard, on tue le temps en cherchant l’extase ailleurs, dans des substituts - ceux proposés par les Marchands du Temple, selon la nouvelle religion qui désunit.

    En fait la société est bloquée, les talents pouvant la transformer sont exclus, la "liberté d’expression" rompant d’avec la parole au quotidien, l’émancipation libératrice synonyme abstrait de progrès mais isolement bien concret... c’est ce que les Romantiques d’après 1830 appelaient le "mal du siècle"... un certain ennui comme ces boulots où la fille debout dans sa boutique à scroller l’écran mais qui ne doit pas se plaindre, elle est libre... merci le féminisme.

    Peut-être qu’un certain ressourcement romantique pour se réapproprier le temps, l’instant, le perpétuer en dehors du flux aliénatoire marchand permettrait de retrouver l’éternel... âm-our.

     

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  • #3347552
    Le 10 avril à 18:04 par Autour du dolmen
    Pierre Drieu la Rochelle – Prestige de la Femme

    le régime néolibéral, qui est un mélange de fascisme et de communisme, mais sans la coercition physique....




    Par d’autres moyens, adaptés à notre époque, la coercition physique est bien réelle. Le néolibéralisme avance à pas de moins en moins feutrés.

    Le confinement, les masques, les diverses limitations comme d’aller dans un bar à condition d’être muni d’un pass, de s’asseoir, le virus s’attaquant aux personnes debout c’est bien connu. L’injection obligatoire pour le personnel soignant, fortement conseillée pour les autres, sous les injures des serviteurs zélés (Salut E. Lechypre, je n’oublie rien).

    C’est maintenant le CO2 et sa stupide limitation qui invite à restreindre les déplacements, entre autres restrictions.

    Ce n’est pas une dictature, c’est un régime totalitaire qui se profile. Il finit toujours par s’attaquer au corps. 2020 et la répétition générale en 2019 ont montré la partie visible de l’iceberg.
    Surprise ! Ils ont commencé par les corps. Les corrompre massivement via l’injection.
    Voir les RKI files pour le Cov et la dernière déclaration du professeur Perronne sur X, au sujet du produit ARNm Pfizer and Co.

    L’iVG dans la constitution, l’IMG jusqu’au 9ème mois pour "détresse psychosociale" , l’euthanasie à quelle échelle ?

    Les corps déshumanisés par le pouvoir sont les cibles d’une idéologie mortifère. Le piège est d’autant plus pervers, qu’à chaque fois une forme de consentement est demandée, dans un contexte soigneusement scénarisé.

    Dans mon environnement amical et professionnel ceux qui ont dit oui à ce qu’ils appellent "vaccin" sont parfois atteints de cancers foudroyants. D’autres sont affectés successivement de trois cancers de souches différentes, de thromboses, quasi impuissance, fatigue +++...

    Ils ont organisé le siège de nos corps, donc de nos vies. Dans ce contexte les femmes sont une variable d’ajustement, une division de l’humanité de plus.

     

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    • #3347578
      Le 10 avril à 19:58 par Gervasuti
      Pierre Drieu la Rochelle – Prestige de la Femme

      Franchement être humilié et rabaissé par une femme ayant un pouvoir hiérarchique c’est fréquent
      mais par un personnage d’une telle médiocrité quelle horreur

       
    • #3349686
      Le 15 avril à 11:59 par ProtégeonslaPalestine
      Pierre Drieu la Rochelle – Prestige de la Femme

      @Autour du dolmen : Vos observations cinglantes et vitrioliques sur le devenir de nos sociétés ne sont que trop justes. Puis-je, toutefois, me permettre de nuancer cet aveu de désespérance face au délitement qualitatif de notre civilisation, en disant que les réalités que vous décrivez n’affectent que ceux qui y adhèrent.

      Les masses apeurées par la mort, du fait d’un athéisme qui limite leur existence à la matière et à la vie terrestre, les femmes apeurées par la maternité parce qu’élevées dans le déni de leur nature et de leur vocation première, « les corps dociles » (expression de Michel Foucault) qui se laissent injecter du poison pour échapper à 4 jours de fièvre : d’où vous vient cette compassion pour des êtres imperméables aux arcanes de la saine curiosité et en proie à la mélancolie du conformisme ?

      Pensez-vous sérieusement que tout le monde soit destiné à être sauvé, que l’éveil intellectuel et que la compréhension de la collision des idéologies soient à la portée du vulgum pecus ? Sachez que le sauvetage sera individuel et associatif, jamais national ni continental, tout simplement parce que comprendre la tectonique des affrontements est et restera un privilège de l’élite intellectuelle et de l’aristocratie morale. Faute d’immunité cognitive et morale, la masse crèvera : ce principe de sélection naturelle ne m’afflige pas ; il est constitutif du lamarckisme qui préside à l’anthropo-sociologie.

       
  • #3347582
    Le 10 avril à 20:11 par Temet Nosce
    Pierre Drieu la Rochelle – Prestige de la Femme

    Drieu avait deja compris, bien avant les gauchistes Clouscard et Pasolini, que la gauche, les progressistes, seront les véritables totalitaires de demain, avec leurs gourous hypocrites exploitants les naifs (son roman Gilles) et que la bourgeoisie allait tomber dans une décadence libertaire et égoïste la menant assurément vers le nihilisme (le feu follet)...Il a compris que la decadence était lié au monde moderne, c’est pourquoi il voyait, peut-être naïvement, le fascisme et puis même le stalinisme comme des moyens pouvant empêcher cette chute vers la décadence.

    Un Drieu fut assez exceptionnel avant-guerre, mais aujourd’hui des hommes occidentaux qui constatent la même chose que ’’Drieu’’ sur la décadence et éprouvent la meme haine contre elle, près de 100 ans plus tard, il y en a des tonnes ! La petite intro bien-pensante est à gerber : un propagandisme du regime tente de nous faire croire qu’on republie Drieu pour le déconstruire ! Que dit-on à la télé des ouvrages de Finkielkraut et de BHL et, surtout, de leur actions ?

     

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  • #3347670
    Le 11 avril à 02:55 par Jean-Pierre
    Pierre Drieu la Rochelle – Prestige de la Femme

    La bonne nouvelle est qu’en Occident les vieilles idées de droite et d’extrême droite ne sont plus du tout à la mode.

     

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  • #3347721
    Le 11 avril à 06:29 par Adolfo Stalini
    Pierre Drieu la Rochelle – Prestige de la Femme

    C’est le genre de baratin téléphoné qui n’apporte rien d’intéressant au débat : la super mafia américano judéo maçonnique a gagné la guerre de 39-45 grâce à une mésentente imbécile et funeste entre communistes et fascistes de l’époque. Depuis cette date, on doit ingurgiter tout un catéchisme absurde et menteur, qui ne correspond à rien si ce n’est aux intérêts méprisables et absurdes d’une super mafia qui impose sa tyrannie débile sur l’ensemble de l’Occident. La solution est à chercher dans une synthèse heureuse entre communisme et fascisme, synthèse rendue possible par la médiation d’un christianisme débarrassé de tout dogmatisme.

    Staline et Hitler auraient mieux fait de s’entendre. La logique de l’existence conduit à choisir la voie la plus stupide pour échapper à l’ennui du quotidien. Si les êtres vivants choisissaient d’emblée la bonne solution, l’évolution (de l’alpha vers le point oméga) serait tellement rapide qu’on arriverait immédiatement à la conclusion après avoir brûlé toutes les étapes... Le besoin d’échapper à l’ennui du quotidien explique à lui seul le choix qu’on fait de privilégier l’erreur avec le cortège de malheurs qui s’ensuit. Rien n’est pire que l’ennui et le malheur nous en guérit... Observez votre chat : il choisit la mauvaise solution pour se raviser ensuite, si tout se passe bien.

     

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  • #3348259
    Le 12 avril à 10:11 par Zack
    Pierre Drieu la Rochelle – Prestige de la Femme

    Ce qui faisait le prestige de la femme c’était de se marier vierge ou ayant eu un partenaire maximum.
    J’avais vu un reportage tout pourri mais dont la morale est à méditer pour les jeunes filles.
    Une beurette française de 18 ans, jolie mais pas incroyable a vendu sa virginité pour un million de dollars à un trader newyorkais.
    C’est lui qui a fait une affaire, pour dire la valeur du truc.
    Ici elle donne leur virginité contre un ciné et un café, mauvaise affaire mesdemoiselles.
    A titre personnel, dans ma belle jeunesse, des jeunes filles m’ont carrément demandé de les initier à la chose, j’ai toujours refusé. Trop précieux, je ne prends que ce que je mérite même si l’on me l’offre.
    PS : je n’encourage pas cette pratique même si je ne la condamne pas (vendre sa virginité), comprenne qui pourra.

     

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  • #3348577
    Le 13 avril à 06:29 par lio
    Pierre Drieu la Rochelle – Prestige de la Femme

    "La dignité plutot que l’abandon de soi". C’est beau, ce qu’il dit, Olivier Barrot. Il a bien pris ses injections, mis son masque, supporté l’Ukraine et trouvé qu’Assange est un espion russe ?

     

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  • #3348864
    Le 13 avril à 19:32 par Yaya
    Pierre Drieu la Rochelle – Prestige de la Femme

    Les femmes vivent un veritable âge d or : elles montrent leur cul dans ma rue, comme de vraies putes, mais malheur à l inconscient qui leur mettrait une main ! Elles demandent de plus en plus de migrants pour baiser avec et nous virer . Quand elles se marient elles exigent de baiser ailleurs, et interdisent a leur mec d en faire autant . Il y a 22 siècles Juvenal : " la femme qui se permet tout et rougit de rien " .

     

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